J’ai sorti mon premier livre en auto-édition, une expérience juste folle

Il y a quelques semaines, je sortais mon premier livre. Plus d’un mois après sa sortie, je voulais faire le point sur cette aventure un peu folle… Parce que je n’ai rien compris. Je ne sais pas ce qui s’est passé. Je veux vous raconter cette histoire parce que c’est probablement l’évènement le plus marquant que j’ai pu vivre en presque 10 ans de blogging. Passer du web au papier c’est cool mais quand derrière, vous écoulez bien plus de livres que ce que vous imaginiez et que les retours sont positifs, c’est impressionnant. Retour sur cette aventure un peu loufoque.

Un mail reçu il y a plus d’un an, ouvert à 1 heure du matin…

Il y a plus d’un an, j’étais en soirée. Ce soir là, je vois une notifications sur mon téléphone qui date de la fin d’après-midi. Je n’ai pas ouvert ce mail, je suis là pour m’amuser avec mes potes et j’ai pas envie de plonger la tête dans les mails du blog sur l’instant. Je me dis en plus au départ : « Super, encore un communiqué de presse, comme les dizaines et dizaines de la journée ». Néanmoins, après avoir reposé mon téléphone, je le reprends. J’ouvre ce mail. On me dit qu’on a regardé mes blogs, qu’on aime mon franc parlé, que c’est sympa d’avoir des jeunes qui tentent d’écrire sur le web. Je comprends pas tout mais une phrase m’interpelle : « Si l’aventure d’écrire un livre pourrait te plaire, je t’invite à me recontacter ». Un numéro de téléphone, un mail. Je crois à une blague, je ne fais rien. J’archive ce mail.

Le lendemain, j’y repense. Je suis là, je ne sais pas trop quoi faire. Je recherche ce mail, je ne le retrouve pas. J’avais oublié qu’il avait été archivé, je remets donc le message dans ma boite de réception. Je le lis, puis je réponds. Je dis que passer du web au papier, pour quelqu’un qui rédige sur le net depuis longtemps est quelque chose qui fait un peu rêver. J’explique aussi que je ne suis personne pour donner des conseils, je ne veux pas faire un guide sur le blogging. Il y en a beaucoup et c’est pas ce que je souhaite. On discute, on échange. On me demande d’écrire mon histoire, de parler mon blog mais d’orienter ça vers les revenus. Générer de l’argent sur internet comme thématique principale ? Je ne comprends pas. J’ai l’impression de juste voir ces plateaux télévisés où on invite les vidéastes pour finalement leur demander combien ils gagnent en s’imaginant qu’ils sont milliardaires. Les blogs, c’est quelque chose que je fais par passion et si je gagne de l’argent, c’est une réalité : ce n’est à l’époque pas mon revenu principal. Alors j’hésite, je discute encore. Rapidement, je déchante face à des règles qui me paraissent surréalistes.

Quelques mots tapés sur mon ordinateur sans prétention, pour finalement un beau projet quelques mois plus tard…

Je découvre le monde de l’édition. Je découvre qu’on va un peu se foutre de ma gueule. Je ne veux pas gagner d’argent avec ce livre, je l’explique. Sauf qu’on me répond que pour publier un premier livre d’un auteur inconnu, les impressions seront limitées à 120 exemplaires. J’entends et c’est déjà fou pour moi de me dire que ce livre va être édité à 120 exemplaires. Sauf qu’après, on m’explique qu’il sera probablement vendu à un prix avoisinant la quinzaine d’euros. Ça me pose un problème : dans l’histoire je ne gagne que quelques centimes par livre d’accord, il y a les coûts d’impression oui, mais où va le reste ? Dans la poche de l’éditeur ? Je préfère ne rien gagner et avoir un livre accessible à tous. J’explique ma volonté de proposer un livre au prix le plus bas possible. Je dis aussi que « Personne n’a jamais payé pour me lire sur internet, il n’est pas question que les gens dépensent autant pour lire ce que je vais considérer comme un très long article de blog ». Bref, vous vous en doutez : ça ne va plus. Je décide de tout stopper alors même que j’avais commencé à écrire le livre.

Un début de livre mais une envie de liberté, que faire ?

Rapidement, je regarde sur internet si on peut éditer soi-même un livre. La meilleure solution ? C’est la version ebook seule. Je prends note, je me dis que c’est ce que je vais faire. Je me dis de toute façon que je n’ai pas d’autres possibilités et que ce projet me tient à coeur alors je vais l’emmener au bout. Si au départ, j’avais pas pour idée de l’écrire et de le publier, ce mail de cette équipe d’édition m’a donné l’envie de tenter cette aventure folle… Je ne voulais plus faire marche arrière.

J’avais donc rédigé une grosse partie de ce livre. Je me dis une chose : je vais repartir de zéro. Je ne veux pas un livre que j’ai commencé pour une maison d’édition, je ne veux aucun tabou. Je veux pouvoir parler de tout. Je veux pouvoir être vulgaire s’il faut, je veux pouvoir être libre de A à Z. Je me souviens de ce jour où j’ai supprimé le fichier Word de mon ordinateur qui comptait déjà plus de 80 pages. J’ai recommencé à zéro. La rédaction reprend donc en avril 2018. Je me fixe un objectif : le livre sortira mi-décembre de la même année.

Première chose surprenante, en une semaine, je rédige 90% de mon livre. D’une traite, sans réfléchir. J’écris l’introduction, la conclusion et ensuite je débute les « chapitres ». Je numérote, j’écris comme je parle, je me libère un peu et je parle de ce que je souhaite. Je ne sais pas vraiment où ça va me mener, mais je sais que ce que je fais là, c’est juste du pur bonheur ! Je profite de ce moment. Je commence à en parler sur Twitter, sans jamais révéler le sujet exact de ce livre. Quand j’écris, je me sens juste libre comme sur mon blog. Je me dis alors que cela aurait été impossible avec un éditeur.

Écrire sur soi : oui mais non…

Dans ce livre, je raconte une petite partie de ma vie. Je préfère le rappeler : je ne veux pas être prétentieux. Je veux juste expliquer à quel point je m’éclate chaque jour dans mon activité. Quand je raconte ce que je fais autour de moi, on me disait : « C’est génial ce que tu fais ! Parfois, je voudrais faire la même chose ». En toute modestie, j’ai juste commencé à écrire des articles dans ma chambre à 13 ans. Un peu moins de 10 ans plus tard, je n’aurais jamais cru une seconde que ça allait devenir mon travail. Le moment où j’écris sur moi, je me pose plein de question. Quand je décide de repartir à 0 sur la rédaction de ce livre, c’est aussi le moment où je prends une décision particulière : quitter mon travail de Social Media Manager pour vivre de ma passion pour le blogging. Pas facile, c’est vrai, surtout quand je fais le choix de tout quitter et de partir à l’étranger, au Japon pour un an. Un nouveau départ total. Quand je dis tout quitter, c’est que j’ai tout vendu. Aujourd’hui, je n’ai plus rien sauf un sac à dos avec des vêtements, mon ordinateur, mon iPad, mon téléphone, un appareil photo et ma Nintendo Switch. Ça peut faire rire et c’est pourtant tout ce qu’il me reste.

Dans un moment clé comme ça où je suis jeune, c’est quelque chose qui pour moi marque un tournant important. Concrétiser ça par un livre où je vais juste dire comment j’en suis arrivé là, c’est génial. J’en ai marre d’entendre autour de moi des gens dire qu’ils se lèvent avec l’envie de rester chez eux, de ne pas aller au travail. Je ne veux pas de cette routine, j’ai 22 ans et je vais déjà commencer à me lasser de mon quotidien ? Impossible. Quand je vois des sourires, juste ça, quand je raconte ce que je fais à des étudiants pour lesquels j’ai pu donner des cours, quand je vois le sourire sur le visage d’adultes qui ne connaissent rien au monde du web et qui sont étonnés, je me dis que y’a forcément quelque chose à partager.

Ainsi, tout cela, c’est la naissance de mon livre : « Petit blogueur deviendra grand ». Comment un gamin de 13 ans, naïf, a créé des sites web. Une passion découverte, une monétisation qui suivra, un moyen de gagner de l’argent oui, mais j’ai pas voulu le centrer du tout là dessus. Un moyen d’en vivre et surtout un moyen de découvrir le monde : un ordinateur me suffit pour découvrir tout ce qui s’offre à moi. Internet est partout aujourd’hui, juste une connexion me suffit et je peux faire ce métier de blogueur partout à travers le monde. Une chance, c’est vrai. J’ai réussi à la saisir, mais je suis certain que ça peut être le cas de tous. C’est ça que j’ai voulu partager dans ce livre.

Au delà de ce message, je parle aussi d’autres choses qui me tiennent à coeur. Le côté professionnel c’est bien, mais l’image que vous avez de vous aussi. J’ai la chance d’être plutôt quelqu’un de confiant en général. Quand je regarde derrière moi, si je n’en avais pas conscience au début, je me rends compte maintenant que mon parcours est peut-être un peu particulier. Mais il n’y a aucun mal à être fier de soi, c’est pas de la prétention. Alors j’ai effectivement aussi rédigé un long passage sur le fait de rentrer dans les codes et le moule que la société impose parfois. J’explique que justement, il faut faire ce qu’on aime avant tout. C’est loin de l’idée du livre au départ, mais c’est aussi moi et mon quotidien. C’est ma vision des choses, j’en suis convaincu et passionné, je le répète sans cesse à mes amis. N’ayez pas honte, aimez ce que vous souhaitez aimer, dans le meilleur des cas vous vivrez encore 80 ans alors n’attendez pas d’être en fin de vie pour lister tous vos regrets. En écrivant ce livre d’une traite, je n’ai pas réfléchi, j’ai aussi parlé avec le coeur. Si ce passage peut paraitre répétitif et long, il me tient vraiment à coeur également. J’ai eu des retours sur ces pages là et c’est probablement ce qui m’a le plus touché. Si j’étais resté dans le moule de la maison d’édition, ces quelques pages n’auraient jamais pu être là car en effet je ne parle pas de gagner de l’argent dans ce passage. C’est pourquoi je suis particulièrement très heureux de ce livre aujourd’hui.

Petit blogueur deviendra grand, juste une volonté de partager à mon échelle une vision positive

On m’avait prévenu : publier un livre c’est bien, mais c’est très compliqué de le vendre. Je l’entends, c’est vrai. C’est pas parce que plusieurs dizaines et dizaines de milliers de personnes vous lisent tous les mois sur internet que vous allez en écouler. Par ailleurs, vous noterez que si j’en ai pas mal parlé sur les réseaux sociaux, je n’ai pas souhaité spécialement utiliser l’audience de mes dix blogs pour vendre ce livre. En auto-édition, il est compliqué de se faire une place : vous partez de rien, vous n’avez rien. Sauf qu’il s’est passé quelque chose que je n’explique pas vraiment…

J’ai mis ce livre sur Amazon, en auto-édition. Le célèbre site d’e-commerce s’occupe donc pour moi d’imprimer les livres (avec son programme KDP), de les expédier et également de proposer une version eBook. D’abord disponible en pré-commande (en version eBook), il s’est rapidement classé dans le top 10 des ebooks dans la catégorie Développement Personnel. J’étais surpris, j’ai juste partagé un lien sur Twitter mais j’étais très content. Puis, le jour J arrive. Celui de la sortie du livre, de la disponibilité en version physique. C’est une vrai concrétisation de ce projet !

Le premier jour, le livre se vend à environ 70 exemplaires. Pour vous dire, je misais plutôt sur les 50. C’est donc une belle surprise et je suis très étonné. Je continue à en parler sur les réseaux sociaux et les ventes continuent chaque jour, puis connaissent un pic. Le livre rentre dans les meilleures ventes de plusieurs catégories d’Amazon. Je ne comprends pas là encore mais c’est génial. Quelques jours plus tard je reçois les premiers avis. De beaux retours constructifs et positifs. Je suis touché, vraiment. Je reçois aussi des mails, des messages privés de gens qui disent qu’ils ne connaissaient pas tout ça de moi, je vois les tweets avec les photos des livres reçus. Comme si j’étais caché derrière mes articles et que je me révélais enfin. Puis je découvre aussi quelques erreurs, quelques fautes de frappe. C’est corrigé depuis mais les premières impressions ne sont pas si fantastiques que ça, on y trouve quelques coquilles… C’est aussi ça l’auto-édition, parfois tout n’est pas parfait. C’est des amis qui m’ont aidé dans la relecture (et je voudrais vraiment les remercier pour ça) car quand on a la tête dans le livre hélas, on ne voit pas tout et on ne voit même plus rien.

Ce livre, il a aussi une belle couverture, que j’adore. C’est une amie, Lucie, qui s’en est occupée. Merci beaucoup à toi également si tu passes par ici ! Il ne fait aucun doute qu’une couverture est la vitrine d’un livre et que sur ce coup, j’ai bien envie de regarder les produits derrières la vitre ! Grâce à ce travail sur la couverture et d’autres choses, on dépasse les 120 livres vendus en quelques heures. Pourtant, il y a quelques mois, on me disait que c’était tout simplement impossible d’en écouler plus pour un premier livre. Je n’ai rien compris. Ceci dit, 120 ce n’est pas fou non plus, très loin du best-seller (et encore aujourd’hui, ça n’arrivera pas). C’est juste un très bon début, c’est vrai. Je sais aussi que j’ai beaucoup de proches qui pour me soutenir, ont fait le choix d’acheter ce bouquin.

Puis, chaque jour encore, les ventes ne cessent de continuer. Je ne comprends pas, ça ne stoppe pas (même si je vends que 4 ou 5 livres certains jours, il y a encore des livres expédiés…). Moi, j’estimais la réussite de ce livre à 80 ventes, je lisais sur internet que 150 pour de l’auto-édition était déjà assez fou. Aujourd’hui, on est pas sur du x2, x3, x4… par rapport à l’objectif de départ. On est sur des centaines et centaines d’ouvrages expédiés ou téléchargés en Kindle. C’est génial, c’est fou. Pour remercier les gens, j’ai alors décidé de rendre mon livre en ebook gratuit pendant 48h. Pour info, Amazon permet de mettre son livre en promotion pendant 5 jours maximum. Vous pouvez alors choisir d’étaler cette promo dans l’année comme vous le souhaitez. À l’heure actuelle, il me reste donc 3 jours de gratuité de mon côté (mais je vous en reparle à la fin de ce billet). Bref, ce n’est pas le sujet : tout ça pour vous dire que ce livre, je l’ai proposé gratuitement 48 heures. Là, ça a été tout simplement le pic énormissime que je n’attendais pas. Le livre s’est classé premier des ebooks Amazon gratuits. Premier sur Amazon France, de tous les livres en promo ou gratuits en version numérique du moment. En quelques minutes, c’était 150 téléchargements immédiats du livre. Ce n’était pas fini, il restait encore plus de 35 heures de gratuité derrière. Cette fois-ci, mon livre s’est ouvert à d’autres personnes qui ne me connaissaient pas. Qui ne connaissent rien à l’univers du blogging. C’est là où ces retours m’ont marqué, car la réponse de certains lecteurs à ce livre me font d’autant plus plaisir.

En auto-édition, vendre son livre c’est compliqué. Alors quand je vois ces chiffres, je me dis que c’est dingue. Il suffit de regarder certaines personnalités célèbres qui parfois écoulent 250 ou 300 exemplaires de leurs livres. Moi, je ne suis personne, je débarque et pourtant : des centaines d’internautes se mettent à commander mon livre. C’est la magie d’internet : atteindre du monde sans vraiment tout contrôler. Alors oui, mon livre est proposé à un prix attractif et c’est incomparable avec un roman à 15 euros mais juste : cet acte d’achat pour moi, il est important. Merci.

Dans l’histoire, tu gagnes de l’argent ?

C’est une question qu’on va me poser. Je préfère y répondre : non. Je ne gagne que quelques centimes par livre, vraiment rien du tout. De plus, cet argent ne sera débloqué qu’à certains paliers, donc pour le moment, cela reste sur mon compte Amazon et je ne peux pas le retirer. L’auto-édition ça a ses avantages mais aussi ses inconvénients : il faut vendre beaucoup pour gagner sa vie (ou bien proposer les livres à un prix plus élevé mais je ne veux pas, d’autant que mon premier livre se lit rapidement et ne doit donc en aucun cas justifier un prix abusif). Alors pourquoi je ne gagne pas beaucoup malgré de beaux chiffres ? C’est simplement parce que j’ai fait le choix de proposer mes livres à un prix le plus bas possible. Je ne veux pas gagner de l’argent, je veux juste qu’un maximum de personnes puissent lire ce livre. La version papier est à 3,99€ alors autant vous dire qu’une fois que vous enlevez les couts d’impression, il ne reste plus rien. Mais je m’en fiche, c’est pas ce que je voulais.

Ce livre est avant tout une superbe aventure

Quand on me dit qu’on a « dévoré » mon livre, c’est probablement ce qui me touche le plus. Me dire que j’ai pu captiver quelques minutes un lecteur, c’est génial. Quand on me dit que les messages positifs donnent envie de se poser plein de question sur sa vie professionnelle, ça veut dire que j’ai à mon sens tout gagné. Je n’ai pas voulu dire que j’avais la meilleure vie, j’ai juste voulu expliquer que chacun doit être maître de sa vie. Cette petite aventure de publication me motive à continuer à faire ce que j’aime. Cela fait déjà quelques petites semaines que je suis maintenant au Japon. J’aime toujours ce que je fais, je profite d’un équilibre génial : travailler et voyager et je me dis que quitter mon travail de Social Media Manager ne peut être un choix regrettable, à aucun moment. Ce livre a marqué mon départ, il a été publié juste avant. J’en suis fier, je peux le dire, malgré ses défauts. Je l’emmène d’ailleurs avec moi, j’en ai un exemplaire physique dans mon sac. Même dans 10 ans, j’en suis certain : ce livre aura été une vraie étape pour moi, marquante.

Il y a quelques jours, je recevais un mail d’Amazon. Le site lance avec Femme Actuelle (et les éditions Prisma) un concours d’écriture dans la catégorie développement personnel. Je suis invité, comme des centaines d’autres auteurs qui s’auto-éditent, à proposer mon livre. Je l’ai fait. Aujourd’hui, je suis alors très heureux de vous annoncer que je suis présent dans la liste des ouvrages participants pour peut-être remporter un dispositif promotionnel de 60 000€ pour cet ouvrage, une adaptation en livre audio et peut-être alors, un contrat d’édition (mais bien différent de ce qu’on m’a proposé au tout début de cette folle aventure). C’est génial ! Je ne suis pas là pour gagner même si j’en ai envie mais juste me dire que mon livre sera lu par une équipe de professionnels, c’est fou. Pour vous remercier et fêter cette participation, le livre sera alors de nouveau gratuit en version ebook à partir du 6 février à 9h, pendant une durée de 24 heures.

Je voulais le dire à nouveau : merci à tous pour ce petit succès, à mon échelle. Je suis très reconnaissant de ce que chaque lecteur a pu m’apporter un jour, en lisant un article ou en survolant les mots que j’ai rédigé peu importe mon blog ou la plateforme. Chaque internaute me permet chaque jour de continuer à réaliser une partie de mon rêve : vivre de ce que j’aime.

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2 Comments

  1. 1
    • 2

      Merci Alexis ! C’est tellement cool pour une première expérience. J’espère maintenant que le livre plaira au jury… Ce serait génial de pouvoir toucher de nouvelles personnes avec ces quelques mots de ce livre :)

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